"La plume est la langue de la pensée"
Miguel de Cervantes Saavedra

25/10/2020

SOUVENIR DE CE QUI ARRIVERA

 Traduction par le Serpent@Plumes du communiqué de l'EZLN, publié le 19 octobre sur le site de liaison zapatiste: ici 

 


 

Quatrième Partie : SOUVENIR DE CE QUI ARRIVERA

Octobre 2020.

Ça fait 35 octobres.

Le Vieil Antonio regarde le feu résister à la pluie. Sous le chapeau de paille ruisselant, il allume avec un tison, son cigarillo confectionné dans une feuille d’épis de maïs. Le feu se maintient, se cachant parfois sous les bûches ; le vent l’aide et de son souffle avive les braises qui rougissent de fureur.

Le campement est celui qu’on appelle « Watapil », dans la dénommée « Sierra Cruz de Plata » qui se dresse entre les bras humides des rivières Jataté et Perlas. L’année 1985 passe et octobre reçoit le groupe avec une tempête, présageant ainsi de ses lendemains. La grand amandier (qui désignera cette montagne dans la langue insurgée), regarde compatissant à ses pieds cette petite, toute petite, insignifiante, poignée de femmes et d’hommes. Visages émaciés, peaux asséchées, le regard brillant (de fièvre peut-être, de dispute, de peur, de délire, de faim, de manque de sommeil), les vêtements marron et noirs déchirés, les bottes rendues difformes par les lianes qui cherchent à garder les semelles à leur place.

Par des paroles posées, paisibles, à peine perceptibles dans le bruit de la tempête, le Vieil Antonio leur parle comme si il s’adressait à lui-même :

« Pour la couleur de la terre viendra de nouveau le Commandeur imposant sa parole dure, son MOI assassin de la raison, sa corruption déguisée en aumône.

Le jour viendra où la mort revêtira sa robe la plus cruelle. Ses pas ornés de rouages et de grincements, la machine qui rend malade les chemins, elle mentira, disant qu’elle amène la prospérité alors qu’elle sème la destruction. Qui s’oppose au bruit qui terrifie plantes et animaux, sera assassiné dans sa vie et dans sa mémoire. La première par le plomb, l’autre par le mensonge. La nuit sera donc plus longue. Plus ample la douleur. Plus mortelle la mort.

Les Aluxo´ob1 alerteront alors la mère et diront : « La mort arrive, mère, elle arrive en tuant ».

La terre mère, la plus première, s’éveillera alors – débarrassant son rêve des perroquets, des aras et des toucans -, réclamera le sang de ses gardiens et gardiennes, et, s’adressant à sa progéniture, elle dira ainsi :

« Que les uns aillent narguer l’envahisseur. Que les autres aillent appeler le sang frère. Que les eaux ne vous effraient pas, que ni le froid ni la chaleur ne vous découragent. Ouvrez des chemins là où il n’y en a pas. Remontez rivières et mers. Naviguez les montagnes. Volez pluies et nuages. Soyez la nuit, le jour soyez, allez de bon matin et avertissez le tout. Nombreux sont mes noms et mes couleurs, mais mon cœur est un, et ma mort sera aussi celle du tout. N’ayez pas honte de la couleur de la peau que je vous ai donné, ni des mots que j’ai planté dans votre bouche, ni de votre taille qui me tiennent proche. Je mettrai la lumière dans votre regard, un abri dans vos oreilles et la force dans vos jambes et vos bras. Ne craigniez pas les couleurs et les manières différentes, pas plus que les chemins différents. Car un est le cœur que je vous ai légué, une est l’entente et un le regard ».

Alors, sous le harcèlement des Aluxo´ob, les machines de la tromperie mortelle se décomposeront, brisée sa superbe, son avidité brisée. Et les puissants ramèneront depuis d’autres nations les laquais qui composent la mort décomposée. Ils interrogeront les entrailles des machines de mort et trouveront la raison de leur volte-face et diront ainsi : « elles sont pleines de sang ». Essayant d’expliquer la raison de cette terrible merveille, ils annonceront donc à leur patrons : « nous ne savons pas le pourquoi, tout ce que nous savons c’est que c’est du sang héritier du sang originaire ».

Et alors, la méchanceté pleuvra sur elle-même dans les grandes maisons où le Puissant s’enivre et abuse. La déraison pénétrera ses domaines et, au lieu d’eau, des sources jaillira du sang. Ses jardins faneront et fanera le cœur de ceux qui travaillent pour lui et le servent. Le puissant ramènera alors d’autres vassaux pour les utiliser. Ils viendront d’autres terres. Et naîtra la haine entre égaux encouragée par l’argent. Il y aura des bagarres entre eux, et viendront la mort et la destruction parmi ceux qui partagent histoire et douleur.

Ceux qui avant travaillaient la terre et vivaient par elle, changés en servants et esclaves du Puissant sur les sols et sous les cieux de leurs ancêtres, verront arriver les malheurs dans leurs maisons. Leurs enfants disparaîtront, étouffé.e.s sous la pourriture de la corruption et du crime. Ce sera le retour du droit de cuissage par lequel l’argent tue l’innocence et l’amour. Et les petits seront arrachés du giron maternel et leur jeune chair sera servie aux grands Seigneurs afin d’assouvir leur vilenie et leur cruauté. À cause de l’argent le fils lèvera la main sur ses parents et le deuil habillera leur maison. La fille se perdra dans l’obscurité ou la mort, morte sa vie, et son être pour les Seigneurs et leur argent. Des maladies inconnues frapperont qui vendra sa dignité et celle des siens pour de la menue monnaie, qui trahira sa race, son sang et son histoire, et qui mobilisera et propagera le mensonge.

La mère Ceiba, la colonne des mondes, criera si fort que même la surdité la plus éloignée entendra sa clameur blessée. Et 7 voix distantes s’en approcheront. Et l’étreindront 7 bras épars. Et 7 poings distincts s’y uniront. La mère Ceiba lèvera alors ses jupons et ses mille pieds fouleront et dérangeront les chemins de fer. Les machines à roues sortiront de leur voies de métal. Les eaux déborderont des rivières et des lacs, et la mer elle-même mugira furieusement. S’ouvriront alors les entrailles des terres et des cieux de tous les mondes.

Alors, la plus première, la terre mère, s’élèvera et réclamera par le feu son foyer et sa place. Et pardessus les orgueilleux édifices du Pouvoir, s’avanceront les arbres, les plantes et les animaux, et par leurs cœurs vivra de nouveau le Votan2 Zapata, gardien et cœur du peuple. Et le jaguar empruntera à nouveau ses routes ancestrales, régnant de nouveau où voulurent régner l’argent et ses laquais.

Et le puissant ne mourra pas avant d’avoir vu comment sa superbe ignorance s’écroulera sans à peine faire de bruit. Et dans son ultime soupir le Commandeur saura qu’il ne sera plus, tout au plus un mauvais souvenir du monde s’étant rebellé et ayant résisté à la mort que son mandat commandait.

Et c’est, dit-on, ce que disent les morts de toujours, ceux qui mourront de nouveau mais, maintenant, pour vivre.

Il se dit qu’on dit que cette parole est sue dans les vallées et sur les montagnes ; qu’elle est sue dans les vallons et les plaines ; que la répète l’oiseau tapacamino3, prévenant ainsi les pas du cœur qui marche en frère ; que la pluie et le soleil la sèment dans le regard de qui habite ces terres ; et que le vent l’emmène loin et la niche dans la pensée complice.

Car des choses terribles et merveilleuses à venir, ces cieux et ces terres en verront.

Et le jaguar empruntera à nouveau ses routes ancestrales, régnant de nouveau où voulurent régner l’argent et ses laquais. »

Le Vieil Antonio se tut et, avec lui, la pluie. Rien ne dort. Tout rêve.

-*-

Depuis les montagnes du Sud-est mexicain.

SupGaleano

Mexique, Octobre 2020.



Du Carnet de Notes du Chat-Chien : Partie II.- Les pirogues.

Vous vous souvenez que les divisions en pays n’existent que pour justifier le délit de « contrebande » et pour donner du sens aux guerres. Il est clair qu’existent, au moins, deux choses au-dessus des frontières : l’une c’est le crime qui, déguisé en modernité, distribue la misère à l’échelle mondiale ; l’autre c’est l’espoir que la honte n’existe que lorsque quelqu’un se trompe de pas de danse, et non chaque fois que nous nous voyons dans le miroir. Pour en finir avec le premier et faire fleurir le second, il faut juste lutter et être meilleurs. Le reste va de soi et c’est ce qui remplit fréquemment les bibliothèques et les musées. Il n’est pas nécessaire de conquérir le monde, il suffit de le faire derechef. Reçu. Santé et sachez que, pour l’amour, un lit n’est qu’un prétexte ; pour le bal un air n’est qu’un ornement ; et pour lutter, la nationalité n’est qu’un accident simplement circonstanciel.

Don Durito de La Lacandpona, 1995

Le SubMoy disait à Maxo que peut-être faudra-t-il essayer du bois de balsa (ici on dit « corcho »), mais l’ingénieur naval contestait que, puisque que plus léger, ce serait pire, il serait emporté par le courant. « mais tu as dit qu’il n’y avait pas de courant en mer ». « Mais si il y en a », se défendit Maxo. Le SubMoy dit aux autres comités qui suivaient la tentative suivante : pirogues.

Ils se mirent à façonner plusieurs pirogues. À la hache et à la machette ils donnèrent forme et vocation marine à des troncs dont le destin original était bois pour le feu. Comme le SubMoy s’était absenté quelques instants, ils demandèrent au SupGaleano s’ils devaient donner un nom aux embarcations. Le Sup regardait comment le Monarque examinait un vieux moteur diesel, il répondit donc distraitement : « Oui, bien sûr ».

Ils partirent et commencèrent à raboter et à peindre sur les côtés des noms rationnels et mesurés. Sur l’un on pouvait lire : « Le pote4 Nageur et Saute Océans ». Un autre : « L’internationaliste. Une chose est une chose et une autre chose est dont fuck me, compagnon ». Un autre : « J’arrive de suite, je ne vais pas tarder mon amour ». Celui là-bas : « Bon c’est à ton compte, pourquoi nous avoir inviter sinon, quoi ». Ceux du puy Jacinto Canek baptisèrent le leur « Jean Robert5 », ce qui était leur manière de le faire participer au voyage.

Sur un plus éloigné on arrivait à lire : « Et pourquoi donc pleurer si ce qui sort est de l’eau salée », et s’étendait à continuation : « Ce bateau a été fabriqué par la Commission Maritime de la municipalité autonome rebelle zapatiste « Ils nous critiquent d’avoir donner un nom si long les MAREZ et les Caracoles, mais on s’en fout », du Conseil de Bon Gouvernement « De même ». Produit périssable. Date de péremption : ça dépend. Nos embarcations ne coulent pas, elles ne font que périmer, ce n’est pas la même chose. Embauches de fabricants de pirogues et fans de musique au CRAREZ (n’inclut ni marimba ni sono – parce que si elles coulent ensuite elles ne sont pas remplacées-, mais si on fait beaucoup pour la cantate… bon, plus ou moins. Ça dépend, quoi). Cette pirogue ne cotise qu’aux bourses de résistance. À suivre sur la prochaine pirogue... », (bien sûr, il fallait tourner autour de la pirogue et sur les parois internes pour lire entièrement le « nom » ; oui, vous avez raison, le sous-marin ennemi va perdre tellement de temps à transmettre le nom complet du navire à couler que, lorsqu’il aura terminé, l’embarcation aura déjà accosté sur les côtes européennes).

Le problème c’est que, pendant qu’ils travaillaient les troncs, la rumeur courrait. L’adorable Amado le raconta au Pablito qui le raconta au Pedrito qui en informa Défense Zapatiste qui en discuta avec Esperanza qui dit à Calamité « ne le dis à personne » qui le raconta à ses mamans qui le dirent dans le groupe « comme femmes que nous sommes ».

Quand on dit au SupGaleano que les femmes arrivaient, le Sup courba les épaules et passa au Monarque la clef qu’on appelle espagnole, d’un demi pouce, alors qu’il crachait des morceaux du tuyau de sa pipe.

Arrive alors le Jacob : Hé Sup, le SubMoy va différer ? »

« Pas la moindre idée », répondit le SupGaleano tout en regardant inconsolable sa pipe cassée.

Jacob : « Et toi, tu sais combien vont voyager ? »

Le Sup : « Encore. L’Europe d’en-bas n’a pas dit combien ils peuvent accueillir. Pourquoi ?

Jacob : Ben c’est que… mieux vaut que tu viennes voir ».

Le SupGaleano brisa une autre pipe en voyant la « flotte » zapatiste. Au bord de la rivière, les 6 pirogues aux noms saugrenus, alignés, étaient remplis de pots et de fleurs.

« Et ça ? », demanda le Sup, comme une formalité.

« C’est le chargement des compagnonnes », répondit Ruben, résigné.

Le Sup : « Leur chargement ? »

Ruben : « Oui, elles sont arrivées et ne disaient que « ça, ça va être utile » et elles sont reparties en laissant ces petites plantes. Et ensuite une petite fille, je ne sais pas comment elle s’appelle, est venue et a demandé si le voyage était pour bientôt, c’est à dire elle voulait savoir si l’arrivée là où nous allons, allait être différée. Je lui ai demandé pourquoi, si c’est parce que ses mamans y vont ou quoi. Elle m’a dit que non, que c’était parce qu’elle voulait envoyer un arbre, tout petit comme ça, que si, soudainement, nous tardions dans notre voyage, et bien il arriverait bien grandi et nous pourrons faire du pozol à l’ombre si le soleil devient féroce. »

« Mais ce sont bien les mêmes », allégua le Sup (en référence aux plantes, évidemment).

Non, dit la comité Alejandra. Ça c’est de l’estafiate, pour les maux de ventre, ça c’est du thym ; celle-là c’est de la menthe ; là de la camomille, de l’origan, du persil, de la coriandre, du laurier, du thé, des aloès ; celle-là c’est pour si vous avez la diarrhée, celle-là pour les brûlures, ça pour le mauvais sommeil, là-bas pour si tu as mal aux dents, ici celle des coliques, celle-ci s’appelle « soigne tout », l’autre, là, pour le vomito, aussi pour la grimace, de la morelle noire, de la maxillaria, de la rue, des géraniums, des œillets, des tulipes, des roses, les mañanitas ; et comme ça.

Jacob senti obligé de clarifier : « Alors qu’on avait terminé une pirogue, lorsqu’on retourna voir, elle était déjà pleine de mauvaises herbes. Encore et encore pleine. Nous en avons maintenant 6, c’est pour ça que je demande si nous continuons à en faire plus, parce qu’elles vont de même les remplir. »

« Mais si vous envoyez tout ça, où vont aller les compagnons ? » voulut raisonner le Sup avec une compagnonne, coordinatrice de femmes, qui portait dans ses bras deux pots et un petit acacia dans son châle croisé dans son dos.

« Ah, parce que des hommes vont y aller ? », dit-elle.

« Peu importe, les femmes non plus ne vont pas rentrer », allégua le Sup « au bord de la crise de nerfs ».

Elle : « Ah, c’est que nous on va pas y aller en bateau. Nous, nous allons y aller en avion, pour que nous ne vomitions pas. Bon, si, un peu, mais moins. »

Sup : Et qui vous a dit vous en avion ?

Elle : Nous.

Sup : Mais d’où vient toute cette parole que tu rapportes ?

Elle : « C’est qu’est arrivée Esperanza à la réunion de comme femmes que nous sommes et nous a informé que nous allions toutes mourir misérablement si nous allions avec ces maudits hommes. Alors nous y avons réfléchi en assemblée et sommes arrivées à l’accord que nous n’avions pas peur et que nous étions bien disposées et décidées à ce que les hommes meurent misérablement et nous pas.

Là on a fait les comptes et nous allons louer l’avion que Calderon a acheté pour le Peña Nieto et que les mauvais gouvernements d’aujourd’hui ne savent pas comment faire avec. Ils disent 500 pesos le billet par personne. On en est à 111 compagnonnes inscrites, mais je crois qu’il manque les équipes de foot des miliciennes. Donc, si ne viennent que 111, ça ferait 55 500,00 pesos, mais les femmes et les acacias ne paient que la moitié, donc 27 750. Il faut encore décompter la TVA et la prime pour les frais de représentation, disons donc quelques 10 mille pesos pour toutes. Tout ça si le dollar ne baisse pas, sinon hé bien moins. Mais, pour ne pas contester pour la paie, on va les donner au bœuf de mon copain, ça n’a pas d’importance si je ne dis pas qui, mais on va le faire, tous les machos sont comme ça.

Le SupGaleano en resta bouche bée, essayant de se rappeler où diable il avait laissé la pipe de secours. Mais quand il vit que les femmes commençaient à amener des poules, des coqs, des poussins, des cochons, des canards et des dindons, il dit au Monarque : « Vite, appelle le SubMoy et dis-lui qu’il est très urgent qu’il vienne ».

La procession des femmes, plantes et animaux s’éloignait au-delà de l’enclos. Les suivait la file de la bande de Défense Zapatiste : la colonne de la horde était ouverte par Pablito, désormais en mode « si tu ne les vaincs pas, rejoins-les », il menait son cheval, suivi de l’adorable Amado avec son vélo – avec une roue dégonflée-. Puis le Chat-Chien pressant un troupeau de bétail. Défense et Esperanza mesurent les pirogues calculant si rentreraient les buts. Le cheval choco portait sur le museau un filet avec des bouteilles en plastique. Calamité passa portant un petit avec un bec-de-lièvre qui hurlait de terreur, craignant qu’on le jette à l’eau pour ensuite le sauver… et pas ?

Quelqu’un qui ressemblait extraordinairement à un scarabée fermait la colonne, avec un bandeau de pirate sur l’œil droit, un pic à brochette tordu sur l’une de ses petites pattes, à la manière d’un crochet -, et dans l’autre une espèce de bâtonnet de glace, bien que ce ne fut rien de plus qu’une écharde d’une des lianes travaillées. L’être étrange, brandissant une lamelle de bois comme masque, déclamait avec une louable intonation : «  Con diez cañones por banda, / viento en popa, a toda vela, / no corta el mar sino vuela / un velero bergantín. / Bajel pirata que llaman / por su bravura “El Temido”, / En todo el mar conocido / del uno al otro confín. »6.

Lorsque revint le Souscommandant Insurgé Moisés, chef de l’expédition balbutiante,il trouva le SupGaleano souriant inexplicablement. Le Sup avait trouvé une autre pipe, celle-là sans la casser, dans la poche de son pantalon.

J’en atteste.

Ouaf-Miaou.

 


 

 

 


 

 


 

1 sorte de lutins de la mythologie maya

2Pour comprendre ce qu’est un Votan, lire ce lien http://www.cspcl.ouvaton.org/spip.php?article959

3Antrostomus ridgwayi ou Engoulevent de Ridgway est un oiseau de la famille des Caprimulgidae.

4Surnom donné à un camion de 3 tonnes, rénové, très utilisé pour les efforts de solidarité

5Philosophe et architecte de Cuernavaca au Mexique, compagnon de route de longue date des zapatistes et décédé le 1er octobre 2020

6Chanson de pirates de José de Espronceda

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